Série L’Adultère « Bertrand » : (Partie 19). Partagé Entre La Fille Et La Belle-Mère.

Je m’appelle Bertrand, comptable dans une entreprise industrielle, je suis un homme de belle carrure, ancien rugbyman de 30 ans, mesurant plus d’1,80 m pour 90 kilos. Je suis marié à Jessica depuis 6 ans, une jeune et belle femme de 29 ans mesurant 1,65 m, pulpeuse avec de belles formes comme je les aime, des seins magnifiques (90c) et un cul bien ferme. Pendant les trois premières années de mariage, je n’avais pas encore trompé Jessica car elle adorait le sexe et je n’étais jamais en manque. Nos relations sexuelles m’étaient largement suffisante, parfois certains week-end, je n’arrivais même pas à la satisfaire entièrement, elle me fatiguait.

Il y a de cela trois ans, Jessica en rentrant du travail n’était pas bien, elle, qui habituellement attendait que je rentre pour m’embrasser et me caresser afin que nous prenions un peu de plaisir, ne disait pas grand-chose, elle ne faisait pas la tête mais je sentais bien qu’elle avait envie de se confier mais n’osait pas. Toute la soirée, j’avais voulu en savoir plus mais je ne parvenais pas à lui sortir les vers du nez.

À la télé le soir, j’avais fait comme d’habitude, je la caressais, la pelotais, cependant même si elle ne refusait pas mes attouchements, elle ne me montrait pas son enthousiasme. Je n’avais pas insisté, cela pouvait arriver d’être malade et de ne pas avoir envie de baiser, ce n’était pas trop son cas mais il avait bien fallu que je me rende à l’évidence. Ce soir, je n’aurai pas ce privilège.

Une fois au lit, après avoir regardé le film, je m’étais blotti contre elle, pensant que cette fois, elle allait me soulager. Elle avait sa main entre mes cuisses lorsqu’elle me dit :
— Écoute Bertrand, il faut que je t’avoue, j’ai cédé à mon chef, il m’a prise sur son bureau et je ne suis pas parvenu à lui refuser.

Je savais que ce type la draguait depuis un an, il lui pelotait les seins qu’il adorait. Au début, elle l’avait repoussé, mais il insistait et Jessica étant quelque peu coquine faisait exprès de l’aguicher.

Il avait même essayé de l’embrasser, elle refusait mais ça excitait Jessica. Sur mes conseils, elle avait fini d’accepter qu’il la pelote un peu de temps en temps avant de quitter le bureau, mais n’avait jamais voulu franchir le cap, surtout pas au boulot :
— Que s’est-il passé ce soir ? Lui demandais-je.
— J’avais trop envie de faire l’amour, tu m’avais excité à mort avec tes SMS toute la journée, j’étais trempée et quand il a voulu m’embrassé pour me dire au revoir, j’ai tourné la tête et je lui ai roulé une pelle.

Je l’écoutais, ça ne m’avait pas énervé, au contraire cela m’excitait. Jessica qui me caressait la cuisse s’apercevait que je commençais à bander lorsqu’elle m’expliquait comment son chef l’avait prise sur le bureau, je n’en pouvais plus, j’avais une énorme érection :
— T’as vu comme tu bandes mon chéri. dit Jessica en me prenant la bite dans la main.
— Tu vois, je ne suis pas jaloux, je t’aime et ça m’excite à mort. Je vais te baiser comme un fou. Retourne-toi.

Cette nuit-là, nous avons fait l’amour comme des bêtes, puis avant de nous endormir épuisés, elle m’avait remercié de ne pas lui en vouloir pour cet adultère et de le prendre aussi bien. Je lui dis que je lui pardonnais car je l’aimais sachant très bien qu’elle m’aimait autant. Pour blaguer, elle me dit « surtout ta grosse queue mon amour. »

Pendant les six mois suivants, profitant de mon indulgence, Jessica s’était laissée aller, elle avait plusieurs fois renouvelé l’expérience avec son supérieur qui rêvait de la sodomiser. Ceci elle s’était toujours refusée de le faire voulant réserver son petit trou à son homme. Et à chaque fois, elle m’expliquait tout ce qu’elle faisait avec lui, cela m’excitait au plus haut point et ça finissait toujours par une baise d’enfer.

Il y a deux ans, nous avions reçu à diner Christelle, la mère de Jessica. Les deux femmes étaient très fusionnelles, ma femme était très souvent chez elle.
Ma belle-mère était une belle blonde, de 53 ans, divorcée à l’époque depuis 3 ans, une grande mince d’1,70 m, avec des formes comme sa fille. Elle était assistante de direction dans une entreprise de mécanique et de nombreux employés tournaient autour mais ceux-ci ne pensaient qu’à son cul, qui était, soit dit en passant super sexy. Ce soir-là, elle s’était plainte auprès de nous, elle ne parvenait pas à trouver un homme à la hauteur de ses espérances, tous ceux qu’elle rencontrait étaient pour la plupart des hommes mariés, voulant passer un bon moment :
— Toi Jess, tu as de la chance, regarde comme il est beau et gentil ton homme.
— C’est un gars comme lui qu’il faudrait que tu trouves maman, Bertrand est un amour et un vrai étalon au lit. Lui avait dit sa fille.
— Un type comme moi, il n’y en a plus, je suis le seul. Avais-je blagué.
— Jess, il va falloir que tu le partages dans ces conditions. Avait répondu Christelle en riant.

Pendant le repas, ma belle-mère nous dit qu’elle avait besoin de mes services de bricoleur, elle avait une fuite dans la tuyauterie au niveau du garage. Elle demanda à Jessica si nous pouvions passer chez elle le samedi après-midi, afin que je répare sa fuite. Ma femme avait rendez-vous chez le coiffeur. Elle me dit :
— Bertrand, je te déposerai chez ma mère et je viendrai te rechercher en fin d’après-midi.

Le soir, en faisant l’amour à Jessica, elle me fait une allusion, elle aimerait bien que sa mère goutte à ma queue, mais étant trop absorbé par mon excitation, je n’avais pas fait attention. Pourtant si moi, je ne l’étais pas, ma femme était du genre jalouse. Je n’avais donc pas compris et n’avais pas voulu reparler de Christelle que j’appréciais beaucoup. Personnellement, si cette femme n’était pas ma belle-mère, peut-être que je ne dirais pas non. Elle m’attirait physiquement, je la trouvais très bandante.

Jessica m’ayant déposé chez la belle-mère, pendant qu’elles étaient toutes les deux dans la maison, je faisais un peu de place et préparais les outils.
Lorsque ma femme était partie chez le coiffeur, Christelle m’appela pour boire le café. Nous étions à la cuisine, j’étais assis en short et elle restait debout à tourner autour de moi, toutes les occasions étaient bonnes pour qu’elle me touche la main, se frotte à moi en me disant que j’étais un beau mâle.

Voyant mon excitation monter dans mon short, j’avais préféré redescendre faire la réparation, je n’en avais pas pour longtemps. Pendant les travaux, elle resta à côté de moi, toujours en faisant ses allusions sur mon corps. Si au début, je pensais qu’elle blaguait, je compris lorsqu’elle me dit : « Ma fille raffole de ton engin mon gendre, je dois l’essayer pour savoir. » Je ne savais plus trop quoi dire, je ne voulais pas tromper Jess avec sa mère mais d’un autre côté, ma verge ne demandait qu’à servir, elle était prête et mes bourses étaient pleines.

Une fois la réparation terminée, lorsque nous sommes remontés, elle m’avait caressé la cuisse délicatement en disant « regarde-moi ces muscles », elle n’arrêtait pas de me chauffer, j’avais la trique mais je n’étais pas certain de ses réelles intentions, je ne pouvais pas imaginer un seul instant qu’un gendre pouvait baiser sa belle-mère, cela ne se faisait pas, me disais-je. Une fois installé au salon, elle me prit la main et la posa entre ses cuisses. C’était très clair, elle voulait coucher avec moi, j’en étais maintenant certain. Ma main resta là où elle l’avait posé, je ne l’avais pas encore monté plus haut :
— Christelle ! Vous êtes sûre de vouloir faire ça ?

Elle prit ma main afin que je lui caresse l’entrejambe, elle ne portait pas de culotte. Elle me sauta dessus et vint m’embrasser à pleine bouche, cette femme était en manque de sexe, c’était devenue une vraie furie :
— J’ai besoin d’un mâle, un vrai ! Me dit-elle en se mettant entre mes jambes.

Elle ne pouvait plus parler, elle avait ma bite dans la bouche et l’avalait, la léchait, la suçait, lorsqu’elle vit que j’allais lui vider ma semence en pleine bouche, elle me demanda :
— Bouffe-moi le cul mon gendre, fais-moi du bien.


Très vite elle mouilla sous ma bouche et ma langue, lorsque mes doigts étaient rentrés en action, elle jouit fortement. D’elle-même elle se mit en position de la levrette en disant :
— Défonce-moi la chatte mon gendre.
— Je n’ai pas de capote, vous n’en avez pas Christelle ?
— Pas besoin, baise-moi comme ça, vite, je suis saine.

Que c’était bon d’avoir une femme dans cet état de manque, elle se remuait comme une folle devant moi en me demandant de la prendre plus fort, après quelques va et viens, elle prit un deuxième orgasme bien plus fort que le premier, arrosant le parquet du salon. Elle s’allongea sur le tapis et m’invita à la prendre en missionnaire, je l’avais pénétré d’un seul coup de rein, elle était trempée, elle croisa ses jambes autour de ma taille et me serrait afin que je reste le plus profondément en elle.

J’avais envoyé tout ce que j’avais dans les couilles lorsqu’elle jouit une troisième fois :
— T’es génial mon petit chéri, ça fait longtemps que je n’avais pas pris mon pied comme ça.
— Christelle ! Avez-vous manigancé ça avec Jess ?
— Tu ne vas pas continuer à me vouvoyer Bertrand après ce que tu viens de m’envoyer. Non, il ne faut surtout pas qu’elle le sache.

Nous n’avions plus le temps de remettre le couvert, pourtant ça n’aurait pas dérangé Christelle qui en voulait encore mais Jessica allait revenir. Ma belle-mère m’embrassa en me disant, juste avant que ma femme ne revienne :
— Je t’appelle lundi, j’ai très envie de recommencer.
— Non Christelle, ce n’est pas prudent…

Comme elle me l’avait dit, Christelle m’envoya un SMS le matin de bonne heure me demandant de passer le soir après mon travail. Moi aussi, je voulais renouveler l’expérience cette femme m’excita toute la journée avec des texto de plus en plus chauds. Vers 16 heures, un nouveau SMS :
« Bertrand, je me doigte en pensant à ce que tu vas me mettre en rentrant. » Puis un deuxième quelques minutes plus tard : « je mouille comme une folle. » Puis un autre : « ma chatte réclame ta belle bite. » Là, je bandais comme un cerf, je lui avais répondu : « J’arrive, je vais te défoncer le cul ma belle-mère » Sa réponse ne tarda pas : « J’espère bien que tu vas m’enculer et pas qu’un peu. »

J’étais en érection depuis plus de trois heures, je ne pensais qu’au cul de Christelle qui m’attendait. Vers 18h lorsque j’étais arrivé chez elle, ma belle-mère s’impatientait, elle ne portait qu’une nuisette en satin rouge. Après nous avoir enlacé et embrassé, je lui dis que c’était une belle salope de m’envoyer des SMS aussi cochons : « J’étais en manque de ta bite mon chéri. Viens allons directement dans la chambre » Elle m’allongea sur le lit et me retira ma chemise puis mon pantalon, me retrouvant en boxer et elle regarda la bosse qui poussait le fin tissu et dit :
— Mon salaud tu bandes comme un âne.
— Oui tu m’excites salope de belle-mère.

Elle s’agenouilla entre mes jambes et me retira le boxer avec les mains et ses dents puis m’avait bien léché à coups de langue, la queue et les couilles avant de me prendre en bouche, elle savait y faire cette chienne en chaleur, j’étais en extase. Elle s’était mise à m’aspirer le gland, aussi fort qu’elle pouvait en relâchant la pression puis recommençait, à ce rythme-là, je n’avais pu m’empêcher de lui envoyer la purée en pleine bouche. Après avoir tout avaler, elle me dit :
— À toi mon gendre, fais plaisir à la belle-doche, bouffe-moi la chatte.

Je lui ôtai la nuisette, elle était entièrement nue, je lui avalais les mamelons en malaxant ses gros seins à peine tombant pour son âge, ses tétons étaient devenus rouge sang et dur comme des billes. Elle me suppliait de descendre aspirer son abricot, la tête entre ses cuisses, je lapais ses grandes lèvres à grands coups de langue et sur son petit clito. Très vite sa chatte mouillait, elle était toute excitée. Puis ma bouche collée à sa vulve, j’aspirait son clitoris comme elle l’avait fait à mon gland, tout en la doigtant. Christelle gémissait comme une folle :
— Continue mon salaud, c’est bon ! Je vais jouir.

Je continuais à martyriser son clito et mes doigts allaient et venaient dans sa chatte trempée, elle venait de jouir en criant sa joie :
— Baise-moi ! J’en peux plus, je veux que ta bite me remplisse.
Elle s’allongea sur le lit en écartant bras et jambes, je me plaçai en missionnaire et je commençais à la prendre doucement, ma bite n’était pas tout à fait en érection mais reprenait de la vigueur. Elle gémissait sous mes coups de queue qui écartait fortement sa chatte, ma queue avait repris sa vraie grosseur. Elle cria : « Vas-y ! Défonce-moi ! J’accélérais le rythme, j’allais taper le fond de son vagin, elle couinait pendant que je la pilonnais, ses seins se balançaient dans tous les sens, jusqu’à son deuxième orgasme :
— Je vais te défoncer le cul ma belle-mère, mets-toi à quatre pattes.

Grâce au doigté, son anus était bien dilaté, je n’eus aucune difficulté à la sodomiser en levrette, je la limais à grands coups de reins, Christelle couinait toujours de plus en plus fort, je la tenais en pinçant la peau de ses hanches, elle criait :
— Que ta queue est bonne mon gendre. Oui comme ça ! Encule-moi bien profond.
— Je viens tu n’es qu’une salope ! Belle-mère.
— Attends éjacule sur mes seins.

Je n’eus pas le temps de ressortir mon engin, elle jouissait en même temps que moi, tout son corps se mit à trembler de partout, une forte jouissance sortait de sa chatte, je m’effondrai sur son dos, laissant mon sperme couler à l’intérieur de son rectum. On s’était écroulé sur le lit quelques minutes avant de prendre la douche où après une savante fellation, elle était parvenue à me vider une nouvelle fois les bourses mais cette fois ci dans sa petite moule. Tout était allé trop vite, il était déjà l’heure que je rentre. Pour ne pas que Jessica soupçonne quoi que ce soit, nous avions fait l’amour comme si de rien n’était.

Depuis ce jour, je ne peux pas m’en passer, je suis toujours amoureux de Jess mais le cul de Christelle est pour moi une drogue. Comme ma femme, ne peut pas dire non à son chef, en bon seigneur, je lui laisse la permission de baiser avec lui les mercredis. J’en profite ces soirs-là, pour retrouver ma belle-mère chérie. Puis avant de nous coucher, Jessica et moi, nous faisons l’amour, pendant qu’elle me raconte en détail sa joute sexuelle de l’après-midi. J’attends aujourd’hui d’avoir la fille et la mère dans mon lit.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Bertrand, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec vous, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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